La SFOPHO accepte les soumissions de contenu afin d’alimenter ses lundis rétro! Y a-t-il un bout d’histoire d’Orléans que vous voulez faire connaître? Un moment dans votre histoire familiale qui s’insère dans celle d’Orléans? On veut vous lire! Cliquez ici pour lire la marche à suivre pour nous soumettre vos textes.
En ce lundi rétro de la SFOPHO, nous vous présentons Eugène Racette. Né en 1897, il était fils de fermiers. De son mariage avec Desneiges Gunville en 1922 naîtront 15 enfants. Leur maison fut la première à Orléans à être dotée de téléphone et d’électricité! Premier gérant de la Caisse populaire de 1944 à 1967,
Pour ce « lundi rétro », nous rendons hommage à soeur Paul-Irène (assise, 2e de droite, dans la photo de 1959 ci-après) qui a été enseignante puis directrice d’école à Orléans entre 1938 et 1960. Elle paraît ici avec des consoeurs (assises : SS. Élise-de-Montfort, Jeanne-de-Montfort et Marie-Edmée; debout : SS. St-Gérard, Marie-Corinne, Marie-Éliane, Agnès-de-Rome, Marie-Geneviève, Charles-Marie,
Pour ce « lundi rétro », voici la ferme d’Orléans, propriété de la CCN depuis 1968. Anciennement nommée la « ferme Saint-Joseph » par les Oblats de Marie-Immaculée, qui l’avaient acquise en 1917, elle a compté jusqu’à 325 acres dans les 1940. On aperçoit la rivière des Outaouais et la rive québécoise en arrière-plan de la photo aérienne (1970).
Le 6 mai 1956, des membres de la 1ère Chambre de commerce d’Orléans, présidée par Jacques Legault (avant, 5e de dr.), assistent à un banquet lors de l’ouverture de l’école Préseault, nommée ainsi pour le curé Ernest Préseault (avant, 4e de dr.). Les deux premiers commissaires scolaires furent Antonio Lemay (derrière, 1er à g.) et
En ce lundi rétro de la SFOPHO… Des amies pour la vie? Telle pourrait être la promesse que se sont faites ces élèves à l’école Préseault d’Orléans en mars 1958! Jocelyne Lefebvre, Louise Quesnel, Micheline Beaubien, Suzanne Vinette, Suzanne Lajoie, Louise Benoît et Huguette Chartrand posent ici dans la cour de l’école avec la patinoire
Le 15 mai 1956, un avion militaire canadien s’écrasait sur la Villa Saint-Louis à Orléans, causant la mort de 15 personnes : 11 religieuses de la congrégation des Soeurs de la Charité d’Ottawa, 2 aviateurs, un aumônier et une employée. Le 19 mai suivant eurent lieu les obsèques à la cathédrale Notre-Dame d’Ottawa, auxquelles assistèrent
